Quand la lune de septembre blanchit les toits d'ardoises,de profondis clamavit ....
Que blanchissent les vagues de la mer d'Iroise,
Que le vent de noroît soufle sur Ouessant,
Que la mer se déchire aux îles du ponant,
Que les goélands fous, criaillent, habités
Soi-disant par les âmes des marins trépassés,
Alors, des Birvideaux, sourd comme un cantique.
De la ville engloutie, de ses ruines antiques
Monte ce Requiem aux anciens habitants,
Cette messe des morts, du fond de l'océan.
Aux marées d'équinoxe, lorsque baissent les eaux,
Les trépassés d'Ays, pleurent aux Birvideaux !..
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3 commentaires:
bravo!
c'est beau, j'aime
Suz
Quel poète !
bonjour
et qui a écrit ce poeme ?
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