La situation financière des nations
A provoqué partout prises de précautions
Faisant suite aux pratiques mafieuses des banquiers
Blocages des crédits, crise des usuriers
Chacun s’est renfermé dans sa tour d’ivoire
Ayant mis un panneau : Il n’y a rien à voir !
Circulez ! Sur la porte qu’il a bien refermée.
Et c’est là qu’est le drame.
...................................................Cette action provoquée
Par la crise monétaire a des effets pervers.
Dégâts collatéraux, dépressions sévères,
Auprès de cette ethnie d’allure romantique,
Détestant la violence et qui met en pratique
Le principe d’enfoncer, mais jamais dans le dur.
L’archétype du genre pourrait être Baladur,
Homme de consensus dont l’allure bonasse
A souvent désarmé de violentes menaces
Par sa passivité et son air cauteleux.
Allons me direz vous, qui sont ces malheureux
Qui vous voulez sauver ?
...............................................Vous l’avez deviné
Ce sont les enfonçeurs de portes non fermées
De portes ouvertes donc, celles qui ont disparues !
Alors là mon ami, j’en tombe sur le cul !
Donner aux enfonceurs, les portes innombrables
Qui s’ouvriraient sans doute pour ce geste admirable
Geste sans conséquence en plus, sans gravité
Laissant le matériel intact, la cavité
Laissée par l’enfoncement étant métaphysique
Ne léserait personne : Quel geste magnifique !
Les pauvres enfonceurs s’en donneraient à cœur joie.
Certains jours choisis, précisés par la voie
Des ‘ mas média’, pour que nul n’en ignore
Et s’aille fracasser l’épaule ou le pylore
Sur un huis clos.
................................Entre temps c’est bien sûr
Les portes seront fermées, étanches comme mur !
Ainsi seront enfin sauvés du désespoir
Les enfonçeurs de portes ouvertes, et la gloire
Sur vous rejaillira, un peu sur moi aussi.
L’un comme l’autre nous aurons gagné le paradis
Par notre bonne action, nous aurons mérité
Indulgence plénière, dûment certifiée
Par Benoît du seizième, qui a un potentiel
Grand enfonceur lui-même de la porte du Ciel.
.
.
Quelques bouts rimés ...
Tout est dans tout... Et réciproquement !
mercredi 12 novembre 2008
Pour le retour des cendres de Mme PRIOU.
Ainsi puisque de toi, le temps a eu raison,
Je veux accompagner ce deuil d’une oraison :
.
Tu vas donc rejoindre ton mari et ta fille
Formant dans l’au-delà comme une autre famille
Qui va se compléter inexorablement !
Par d’autres à venir et naturellement
Se reconstituera comme dans un miroir,
La famille au complet, comme dans une histoire
 l’envers où les vieux arrivent en premier.
Mondes incompréhensibles ! Il faut se résigner
A jamais rien comprendre ni à l’un ni à l’autre !
Pour l’autre justement comme ces bons apôtres
Qui nous disent : acceptez les consolations
Que propose l’Eglise : la contemplation
De la Divinité !
..................................Assise sur ton nuage
Au bout de cinq minutes tu reprendrais l’ouvrage
Commencé ici-bas, mais enfin tu en sais
Là-dessus, c’est certain, plus que moi désormais.
Repose donc ici, dans ton urne de pierre
Auprès de ta famille en ce beau cimetière
De la région nantaise, dans ton village aux Couets.
Tes amis, tes parents formant cette assemblée
Ne sauraient trop tarder à venir te rejoindre
La durée d’une vie ici-bas est bien moindre
Que le temps d’un clin d’œil devant l’éternité !
Les Couets 08/11/08.
Je veux accompagner ce deuil d’une oraison :
.
Tu vas donc rejoindre ton mari et ta fille
Formant dans l’au-delà comme une autre famille
Qui va se compléter inexorablement !
Par d’autres à venir et naturellement
Se reconstituera comme dans un miroir,
La famille au complet, comme dans une histoire
 l’envers où les vieux arrivent en premier.
Mondes incompréhensibles ! Il faut se résigner
A jamais rien comprendre ni à l’un ni à l’autre !
Pour l’autre justement comme ces bons apôtres
Qui nous disent : acceptez les consolations
Que propose l’Eglise : la contemplation
De la Divinité !
..................................Assise sur ton nuage
Au bout de cinq minutes tu reprendrais l’ouvrage
Commencé ici-bas, mais enfin tu en sais
Là-dessus, c’est certain, plus que moi désormais.
Repose donc ici, dans ton urne de pierre
Auprès de ta famille en ce beau cimetière
De la région nantaise, dans ton village aux Couets.
Tes amis, tes parents formant cette assemblée
Ne sauraient trop tarder à venir te rejoindre
La durée d’une vie ici-bas est bien moindre
Que le temps d’un clin d’œil devant l’éternité !
Les Couets 08/11/08.
lundi 3 novembre 2008
Tousaint
et le siècle couler, sans qu'amis ni famille...
L'automne a habillé de gris
Les rues de la ville qui pleure,
Ainsi je reste compter les heures
En ma demeure qui sue l'ennui !
La Toussaint sur ce temps laisse
Une ambiance funèbre équivoque
La fête de tous les saints provoque
Le devoir de mémoire aux morts !
Le temps est adéquat en somme
Pour l'entretien des sépultures
Se projeter dans le futur :
Réfléchir au destin de l'homme.
Une fois par année suffit
A ce dangereux exercice.
En abuser serait propice
A une grave maladie.
.
Les cénobites.
Hypocrite lecteur, je vois ton oeil éteint
S'allumer à l'idée de poisseux calembours.
Ne compte pas sur moi, bien que par l'âge atteint,
Je suis resté candide et ce pesant humour
N'est pas dans mes façons ! Pourquoi les cénobites ?
Arrête de ricaner, point de sous-entendus !
Ce peuple philosophe, dans le désert habite.
Autour de Sodome ils s'étaient répandus.
C'est ainsi que Halin patriarche en la ville,
Fut recueilli par eux, après la destruction
De la cité maudite et de sa race vile !
Il reçu de ses hôtes une autre éducation
Qu'il répandit bientôt autour de la mer morte.
Dans les monts d'alentour il vécut en ermite
Et puis il y mourut, d'une rupture de l'aorte,
Et c'est là qu'enterré par les cénobites,
Tranquille il y repose. Mais qu'as-tu donc à rire?
Ironique lecteur ! Il fut canonisé
Par Grégoire le septième, mais on dut réécrire
Son nom pour l'occasion. Il fut intronisé
Sous celui d'Alanus consonance romaine !
Pourquoi rit-il encore ? Je t'inverti lecteur
Je ne supporte plus ces moqueries soudaines !
J'ai commis ce poulet pour les contradicteurs
Qui prétendent qu'il n'est pas de saint pour les Alain !
Nous en avons un bon ! Voila ! La preuve est faîte !
C'était un sodomite, il s'appelait Halin,
Il fut canonisé par ce bon Grégoire sept.
.
S'allumer à l'idée de poisseux calembours.
Ne compte pas sur moi, bien que par l'âge atteint,
Je suis resté candide et ce pesant humour
N'est pas dans mes façons ! Pourquoi les cénobites ?
Arrête de ricaner, point de sous-entendus !
Ce peuple philosophe, dans le désert habite.
Autour de Sodome ils s'étaient répandus.
C'est ainsi que Halin patriarche en la ville,
Fut recueilli par eux, après la destruction
De la cité maudite et de sa race vile !
Il reçu de ses hôtes une autre éducation
Qu'il répandit bientôt autour de la mer morte.
Dans les monts d'alentour il vécut en ermite
Et puis il y mourut, d'une rupture de l'aorte,
Et c'est là qu'enterré par les cénobites,
Tranquille il y repose. Mais qu'as-tu donc à rire?
Ironique lecteur ! Il fut canonisé
Par Grégoire le septième, mais on dut réécrire
Son nom pour l'occasion. Il fut intronisé
Sous celui d'Alanus consonance romaine !
Pourquoi rit-il encore ? Je t'inverti lecteur
Je ne supporte plus ces moqueries soudaines !
J'ai commis ce poulet pour les contradicteurs
Qui prétendent qu'il n'est pas de saint pour les Alain !
Nous en avons un bon ! Voila ! La preuve est faîte !
C'était un sodomite, il s'appelait Halin,
Il fut canonisé par ce bon Grégoire sept.
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