Ô ! Mer, capricieuse, comme l'astre des nuits,
Qui au flux et reflux, impose sa cadence,
Mais aussi sa puissance, s'il y a coïncidence
D'un grand coefficient, d'un coup de vent subit !
Malheur au littoral quand déborde la mer
Enfonçant le relief dérisoire des dunes,
Des digues des levées, ouvrages de fortune,
Transformant le rivage en des marais amers .
C'est ce qui s'est passé à la fin février
Sur nos côtes si basses d'Aunis et de Vendée:
Je dédie ce poème aux morts de cette nuit.
Il convient désormais d'en tirer la leçon,
Laissons à l'océan ce qu'il nous a repris,
Ce serait, je crois bien, sage précaution.
Bobi 03. 10
Quelques bouts rimés ...
Tout est dans tout... Et réciproquement !
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1 commentaire:
Complètement d'accord,
Que la Mer reprenne ses Droits !
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