à mon épouse
Ton regard furibond qui lance des éclairs
Ton mépris affiché pour ton pauvre mari,
Qui beaucoup t'a déçue tout au long de sa vie
Grimace désabusée, sourire un peu amer.
J'entends se déverser une marée de haine,
Tes hurlements éteignent même le bruit de la mer !
Dans cette logorrhée violente comme tonnerre
Tes vociférations contre moi se déchaînent.
Tes gesticulations autour de moi dessinent
Un mur dangereux qu'il ne faut pas franchir.
Tes caresses sont pleines de griffes qui déchirent
Attention au contact ! Volonté assassine !
Mais je vois dans tes yeux que tu m'aimes encore,
Mais j'entends dans ta voix que tu m'aimes encore,
Mais je sens dans ton geste que tu m'aimes encore,
Si tu ne m'aimais plus je serais déja mort !
Ton regard furibond qui lance des éclairs
Ton mépris affiché pour ton pauvre mari,
Qui beaucoup t'a déçue tout au long de sa vie
Grimace désabusée, sourire un peu amer.
J'entends se déverser une marée de haine,
Tes hurlements éteignent même le bruit de la mer !
Dans cette logorrhée violente comme tonnerre
Tes vociférations contre moi se déchaînent.
Tes gesticulations autour de moi dessinent
Un mur dangereux qu'il ne faut pas franchir.
Tes caresses sont pleines de griffes qui déchirent
Attention au contact ! Volonté assassine !
Mais je vois dans tes yeux que tu m'aimes encore,
Mais j'entends dans ta voix que tu m'aimes encore,
Mais je sens dans ton geste que tu m'aimes encore,
Si tu ne m'aimais plus je serais déja mort !
Bobi 07 07.
1 commentaire:
oui
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